« Au début de cette pièce, on peut s’imaginer à Nazareth lors du départ de Marie et Joseph / Au milieu, on peut sentir les difficultés de la route et l’angoisse de la recherche du lieu pour l’accouchement / À la fin, après la naissance du Sauveur, on retrouve la paix et la joie de l’événement. »
Le ciel n’est pas fermé mais ouvert / Pierre Desroches (408e)
Commentaire des textes liturgiques du 13 janvier 2018 : « LE BAPTÊME DE JÉSUS PAR JEAN »