Archives : "COMMENTAIRES DE LA PAROLE"

Jésus et la question : m’aimes-tu ? / Pierre Desroches (262e)

Jésus et la question : m’aimes-tu ? / Pierre Desroches (262e)

« La persécution, une réalité dans le chemin du salut / Rendre présent la confiance de Jésus envers son Père / Personne n’arrête l’action de Dieu / Une expérience auprès des personnes handicapées / Jésus nous pose aussi la question : m’aimes-tu ? »

Pierre et la primauté par l’amour / Guylain Prince (35e)
Commentaire des textes liturgiques du 10 avril 2016 : LA PÊCHE MIRACULEUSE »

Pierre et la primauté par l’amour / Guylain Prince (35e)

Pierre fut peiné parce que, pour la troisième fois, il lui demandait : « Est-ce que tu m’aimes ? » et il répondit : « Seigneur, tu sais tout : tu sais bien que je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes brebis. »

Veillée et Fête de la Miséricorde / Pape François (259-260e)
Commentaire des Évangiles du 2 et 3 avril 2016 : L’APPARITION À THOMAS »

Veillée et Fête de la Miséricorde / Pape François (259-260e)

Mais Thomas leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »

Jésus… à travers nos fermetures / Pierre Desroches (261e)
Commentaire des textes liturgiques du 3 avril 2016 : LE DOUTE DE THOMAS »

Jésus… à travers nos fermetures / Pierre Desroches (261e)

« Dieu ne se laisse pas arrêter / Jésus on ne l’apprend pas, on le rencontre / Avant et après Jésus / Jésus passe à travers nos fermetures / Envoyés avec nos vulnérabilités / Les témoins sont essentiels pour que nous puissions croire. »

Missionnaires… les femmes au tombeau / Pierre Desroches (260e)

Missionnaires… les femmes au tombeau / Pierre Desroches (260e)

« L’expression : être plongé dans la mort du Christ / La seule mort qui a été vaincu / La capacité des femmes de ne pas fuir / La lumière dans le tombeau / Le jugement des médias sur ceux qui croient. »

Les femmes sont là, et croient / Christian Beaulieu (39e)

Les femmes sont là, et croient / Christian Beaulieu (39e)

« Nos peurs face aux transformations que Dieu veut faire en nous / Les femmes n’ont pas eu peur / Ceux pour qui nous avons arrêtés de croire / Les femmes sont là, car elles ont continué à croire / Évangéliser de larmes à larmes / Ceux qui pardonnent, construisent. »

VENDREDI SAINT / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (166e)
Prédication du VENDREDI SAINT 29 mars 2013 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine en lien avec celle du 24 mars 2016 (Jn 18, 1-40; 19, 1-42)

VENDREDI SAINT / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (166e)

« Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. » Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. »

JEUDI SAINT / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (165e)
Prédication du JEUDI SAINT 28 mars 2013 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine en lien avec le 24 mars 2016 (Jn 13, 1-15)

JEUDI SAINT / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (165e)

« Jésus, sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; puis il verse de l’eau dans un bassin. »

De l’admiration à la crucifixion / Pierre Desroches (259e)
Commentaire des textes liturgiques du 20 mars 2016 : L’ENTRÉE DE JÉSUS À JÉRUSALEM »

De l’admiration à la crucifixion / Pierre Desroches (259e)

« À l’écoute du Seigneur qui instruit, plutôt que la révolte / Une expérience de pardon de Jean Vanier sur le crachat / Une montée de Jésus vers la mort / Se reconnaître dans l’âne du Seigneur / On crucifix l’Église du Québec. »

Les accusateurs désarmés / Pape François (257e)
« Commentaire de l’Évangile du 13 mars 2016 : LA FEMME ADULTÈRE »

Les accusateurs désarmés / Pape François (257e)

« Maître, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, qu’en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. »