Archives : "Michel-Marie Zanotti-Sorkine"
Nous avons bénéficié du Christ / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (193e)
Prédication du 5 août 2015 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mt 15, 21-28)
La Loi au lieu des personnes… / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (191e)
Prédication du 17 juillet 2015 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mt 12, 1-8)
Croire aux miracles du Christ / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (190e)
Prédication du 14 juillet 2015 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mt 11, 20-24)
Tout revient à : « Aimez-vous… » / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (189e)
Prédication du 8 mai 2015 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Jn 15, 12-17)
La maternité de Dieu : Osée / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (188e)
Prédication du 7 juillet 2016 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mt 10, 7-15)
La répudiation / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (187e)
Prédication du 20 mai 2016 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mc 10, 1-12)
Celui qui donne un verre d’eau… / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (186e)
Prédication du 19 mai 2016 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mc 9, 41-50)
La prière et de la souffrance / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (180e)
Prédication du 23 juin 2013 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Lc 9, 18-24) en lien avec celle du 19 juin 2016.
« Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les chefs des prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, le troisième jour, il ressuscite. » Il disait aussi à la foule : « Celui qui veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même…»
Pharisiens : la lettre avant l’esprit / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (179e)
« Survint une femme de la ville, une pécheresse. Elle avait appris que Jésus mangeait chez le pharisien, et elle apportait un vase précieux plein de parfum. Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, à ses pieds, et ses larmes mouillaient les pieds de Jésus. »
Résurrection d’un fils à Naïm / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (178e)
« En voyant la femme, le Seigneur fut saisi de pitié pour elle, et lui dit : « Ne pleure pas. » Il s’avança et toucha la civière ; les porteurs s’arrêtèrent, et Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. » Alors le mort se redressa, s’assit et se mit à parler. Et Jésus le rendit à sa mère. »